Présentation :
Auteur : Israël Horovitz, adaptation libre de Jean-Loup Dabadie
Metteurs en scène : Bernard Murat
Comédiens : Emmanuelle Devos et Pierre Arditi
Synopsis :
Gloucester, petite ville portuaire des Etats Unis. Jacob Brackish, vieille terreur du lycée local où il a enseigné toute sa vie la littérature anglaise et l'histoire de la musique y vit.
Il y vit reclus seul avec sa radio. Kathleen débarque, telle une tempête, dans cet univers désolé.
Grâce à elle, la vie revient et ces deux êtres, qu'a priori tout oppose, vont se rencontrer...
Mais pourquoi vient-elle ? Vraiment... ?
Séances : Du jeudi au samedi à 21h, matinées samedi à 17h30 et dimanche à 15h30 au Théâtre Edouard VII.
Mon avis :Il y vit reclus seul avec sa radio. Kathleen débarque, telle une tempête, dans cet univers désolé.
Grâce à elle, la vie revient et ces deux êtres, qu'a priori tout oppose, vont se rencontrer...
Mais pourquoi vient-elle ? Vraiment... ?
Séances : Du jeudi au samedi à 21h, matinées samedi à 17h30 et dimanche à 15h30 au Théâtre Edouard VII.
Samedi 19 mai à 17h30, je me suis rendue au théâtre Edouard VII, une salle parisienne, que je ne connaissais pas mais très belle !
Sur les premières répliques, j'ai eu un peu de mal car de là où j'étais, les voix des comédiens ne portaient pas très bien. Heureusement, cela s'est rapidement résolu. Je me suis facilement prise à l'histoire grâce aux comédiens, qui entrent parfaitement dans leurs rôles. L'un est un ancien professeur de musique grincheux sur ses vieux jours ; tandis que l'autre, vient cohabiter avec lui pour l'aider... J'ai plutôt apprécié l'évolution de cette jeune femme plutôt ingénue, qui a perdu son mari. En effet, le rapport de force dans la relation, qui les uni va peu à peu s'inverser, lui permettant de laisser place à la femme de caractère en elle.
Cependant, la pièce manquait cruellement de rythme parfois. Heureusement, que le jeu des comédiens et quelques rebondissements, viennent atténuer ce défaut car à certains moments, je n'attendais qu'une chose : le dénouement final !
Par ailleurs, la pièce était surtitrée en anglais. Je trouve cela vraiment bien pour les étrangers, qui souhaiteraient venir découvrir la pièce !
En bref, j'ai passé un agréable moment avec Quelque part dans cette vie ! Certes, on ne rigole pas tout au long de la pièce mais certaines répliques, l'émotion qui s'en dégage, le jeu des comédiens, ainsi que l'histoire valent le détour !
Sur les premières répliques, j'ai eu un peu de mal car de là où j'étais, les voix des comédiens ne portaient pas très bien. Heureusement, cela s'est rapidement résolu. Je me suis facilement prise à l'histoire grâce aux comédiens, qui entrent parfaitement dans leurs rôles. L'un est un ancien professeur de musique grincheux sur ses vieux jours ; tandis que l'autre, vient cohabiter avec lui pour l'aider... J'ai plutôt apprécié l'évolution de cette jeune femme plutôt ingénue, qui a perdu son mari. En effet, le rapport de force dans la relation, qui les uni va peu à peu s'inverser, lui permettant de laisser place à la femme de caractère en elle.
Cependant, la pièce manquait cruellement de rythme parfois. Heureusement, que le jeu des comédiens et quelques rebondissements, viennent atténuer ce défaut car à certains moments, je n'attendais qu'une chose : le dénouement final !
Par ailleurs, la pièce était surtitrée en anglais. Je trouve cela vraiment bien pour les étrangers, qui souhaiteraient venir découvrir la pièce !
En bref, j'ai passé un agréable moment avec Quelque part dans cette vie ! Certes, on ne rigole pas tout au long de la pièce mais certaines répliques, l'émotion qui s'en dégage, le jeu des comédiens, ainsi que l'histoire valent le détour !
Intéressant comme article, il est quelque fois difficile de choisir une pièce de théâtre beaucoup moins critiquée qu'un film.
RépondreSupprimerBonne journée, FLaure
C'est pour cette raison que j'ai choisi de parler également des pièces de théâtres que je vais voir.
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